lundi 9 mai 2011

Boulevard des coincidences

Dans la cour des grands. Ils sont tous grands, trop grands. Tous apprêtés, tous pressés, tous à déléguer, à écrire « merci de… », à passer leur journée entre les appels extérieurs/internes.

Toutes des bouteilles de parfum ambulantes, des expos vivantes d’une collection de maquillage, des voix aigues, des talons hauts. La majorité – blondes. S’habillent en Prada. Sont le Diable.



A force de trop les côtoyer, tu finiras par leur ressembler.
Tu perdrais ainsi de ta merveilleuse. D’après mes critères. Mais qui suis-je pour que mon opinion t’intéresse un minimum ?
En tout cas, pas le Diable.

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