mardi 8 février 2011

Ca saint la Valentin!

 Qu’on soit d’accord, ce billet est gnagna, froufrou et capucine. Ca saint la Valentin, il me paraît indispensable de dire ici qui et ce que j’aime. Au fond, vous seriez à même de le savoir car je ne suis pas restée sans témoigner de moi. Bien avant et en dehors de la Saint Valentin. Ne critiquez donc pas le décalage entre la grandeur de ma tâche (parler d’amour France Inter) et la petitesse de mes aveux.

Comme dit la série, c’est « Ma famille d’abord ». Mes chers parents, qui savent quand j’ai faim, froid, besoin d’argent. Le papi et les deux mamies, qui ne comprennent pas qu’en France, je suis notée sur 20 et qui me souhaitent tout le temps des 10 (le maxi en Roumanie). Le mioche et sa sœur. Attention, la concurrence est forte, après l’apparition de l’Attachiante, de Ram et de LaChaussetteRose. Vous connaissez les raisons pour lesquelles j’aime ma bande Freakin’Fresh, partagées lors du 2ème billet.

J’aime aussi les bruns, l’écriture à la main, les cours de natation (grâce à un brun, tu vois ?), les fraises. Les voix cassées, la musique-poésie, la photo en noir et blanc, les t-shirts porteurs de messages plus drôles les uns que les autres.
Les « merci », « bonne nuit », « t’es nulle », « quiche », « chérie d’amour », selon le cas.
L’espoir que Mulberry ne déposera jamais son bilan.
L’odeur d’un livre, le rire cristallin, les leggings en cuir, les clous, les quelques blogs riches en infos et photos ne manquant pas de goût.

Je pourrais continuer comme ça, mais tu pleures. OH, ai-je touché tes cordes sensibles ? Bon, j’ai choisi de t’écrire bien avant la Saint Valentin, car tu seras occupé(é) à faire les magasins (sex- shops et autres), à gonfler les ballons en forme de cœur, à foutre ton APL dans des roses qui vont faner trois jours après. J’ai voulu que tu le lises avant l’amouromanie.

Ah oui, j’allais oublier :

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